Thursday, April 27, 2006

Celles Voluptueusement Douces



Magnifique contraste entre les sonorités métalliques du tabla indien et celles voluptueusement douces du saxophone jazzy, le tout judicieusement relayé par les discrètes mais pertinentes ponctuations d’une batterie qui joue les intermédiaires entre les deux langages. Le saxophoniste américain Charles Lloyd est depuis longtemps un adepte de la « méditation transcendantale » . . .

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Damn, I forgot to breathe again.



Sometimes I’ll realize it’s been a month since a proper gulp of O puffed my lower alveoli, then something like the new live album Sangam (ECM) by Charles Lloyd, Zakir Hussain and Eric Harland lays hands on my corporeal meat bag, and systems resume operation.

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